maternelles privations ...
Qu'est-ce qu'une femme...
Un corps de rêve, de beaux cheveux, des yeux ravissants...blonde à forte poitrine, la douceur même, une invitation à l'amour ..
STOP on arrête le rêve! Les Claudia et autre Tannia ne font pas légion en ce pays.
Non.
La majorité ont des problèmes de poids passé un certain âge, elles sont d'une humeur épouvantable en période de menstrue, souffrent d'insuffisance veineuse et ont une nette tendance à la déprime (de légère à grave)!
Ajoutez à ça tout un psychisme enclint à une soumission toute culturelle, et voilà "la frustrée" qui fait voir le bout de son nez...
Description bien apocalyptique me direz vous ? Non. Loin de moi cette idée, j'ai même édulcoré la pluspart des traits, disons négatifs, afin de ne pas heurter la sensibilité des plus jeunes...
Bref.
Puis la femme devient mère...Est-ce là le but ultime de sa vie ? Comment expliquer alors que tant de femme se défendent de cet instinct nous poussant pourtant à procréer.
La femme se réalise-t-elle réellement dans son role de mère?
C'est en tout cas ce qui est socialement convenue.
Nombre d'ouvrage bien pensant vous prônent le mythe de la mère modèle heureuse auprès de ses petits qu'elle élève dans le bonheur le plus parfait.
Voir même, l'ouvrage en question aurait une nette tendance à vous culpabiliser un brin si vous souhaitez :
1- conserver un emploi à temps plein,
2- faire garder votre enfant par un tiers quand celui-ci a tout juste 2 mois et demi.
Mais comment alors concilier les réalités de la vie sociale qui prônent tout de même un temps plein pour sauvegarder un espoir de carrière, et conserver un minimum d'aisance pécunière, avec ces charmantes préoccupations?
Rien, dans notre société, n'est fait dans ce sens. En fait de droit, la femme n'a récupéré que le pire, devant à son tour intaurer des contraintes qui ne sont pas celles de "nos mâles dominants", et n'ayant aucun pourvoir de le faire, vue qu'elle ne peut que fort difficilement accèder aux postes de "décision".
Je m'inquiète de tout cela, des difficultés psychologiques que cela apporte, ces contraintes sociales complètements décorrélées des institutions, et a priori d'une réalité sociale.
Comment valoriser la femme, qui, devant tout mener de front, s'épuise à ne pouvoir progresser, et doit de fait renoncer à tant de chose...
Comment réintroduire dans notre société le respect de cette femme qui fait le choix d'enfanter...
Comment enfin espérer d'une société qui traite si mal avec tant de paradoxe la femme et l'enfant?
MAXIMA DEBETUR PUERO REVERENTIA